Voilà un nouveau partage de messages reçus. Pour ceux qui pourraient se demander qui est Soya : Soya est un être que j'ai contacté un certain temps, ou qui m'a contacté un certain temps... et qui appartient et expérimente sur Orion positif, probablement sur une planète ascensionnée du nom de An !
Son énergie particulière sait vous "remonter les bretelles"
A vous de sentir si cela fait écho en vous !
A votre discernement et votre ressenti
Evelyne.C
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Aller dans le sens de la vie, par Soya.
Il faut aimer la vie pour tout ce qu’elle nous donne de beauté, de
finalité, d’ardeur.
La vie, c’est jouer son rôle pleinement, sans chercher à retenir chaque
instant, qu’il soit fait de solitude salvatrice après des moments de déception
ou de bonheur effréné.
Rien ne doit être gardé, rien ne peut être gardé. Aimer la vie, c’est la
prendre dans le bon sens, dans le sens du courant.
On ne remonte pas le ruisseau à moins de vouloir s’enchevêtrer dans des
difficultés, des racines, insurmontables. On coule avec lui et on visite des
lieux inconnus, surprenants, inattendus, inespérés. L’inspiration vient en
marchant sur les chemins de la vie. « Callé dans votre fauteuil de tous
les jours », si vous vous y engluez, vous ne visualiserez pas la vie, vous
ne l’entreprenez pas, vous la mentaliserez à des degrés moindres. Sortez des
sentiers battus avec intelligence et amour. Ne commettez pas l’erreur de vous
perdre non plus, sur des sentiers imprévus certes, mais éloignés de la Source.
Vous avez maintenant en vous assez de lumière de référence d’amour pour
ne pas vous tromper.
La
vie, c’est aimer, sans ajout de peur, de contraintes futiles ou épuisantes.
La vie, c’est donner ce qu’il y a de mieux en nous, pour recevoir le
meilleur de nous-mêmes.
La vie, ce n’est pas fuir ses responsabilités, mais assumer celles qui
sont vraiment les siennes, sans s’y pervertir, s’y appesantir, s’y complaire
dans un mea-culpa stérile.
C’est poursuivre son chemin avec une connaissance de plus, une sagesse
ouverte sur le monde extérieur et intérieur. C’est à ça que sert l’expérience.
Le mot expérience veut bien dire ce qu’il veut dire. L’amour empirique
est un don permanent de soi, de ses vertus, qualités.
Ne mesurez pas ce que vous donnez, aimez ce que vous donnez, aimez ceux
à qui vous donnez, aimez-vous vous-même pour cela.
Soyez juste envers toutes choses.
La compassion et la compréhension sont vos alliées dans ce domaine.
Rassemblez vos forces, vos idées, votre concentration, le pouvoir de
l’un en vous à chaque difficulté, afin de trouver la voie juste : pour
vous, pour autrui, pour la Terre. Car, en tant que cellule vivante de la Terre,
chaque ajustement a ses conséquences propres.
Vous oeuvrez dans un monde parfait, dans le sens où il est régi par
certaines lois divines, que vous transgressez ardemment, mais que vous n’avez
pu changer. Servez-vous de ces lois, pour faire advenir ce que vous voulez. Si
cela est juste, les lois et le divin mettront tout en place en votre faveur.
Ne pleurez plus sur vos souffrances d’hier. Oui, vous allez les oublier.
Certes, cela vous gêne encore un peu…
Tant de sacrifices, de peurs, de souffrances, qui seront méconnues, non
reconnues ! Mesurez-vous l’ampleur de cette démarche ? Elle vous
retient dans le passé, pour une ratification que vous n’aurez jamais.
Savez-vous que tout le monde a
souffert sur cette Terre, à sa mesure, selon sa compréhension ?
Reconnaître la souffrance des autres, c’est reconnaître la sienne. C’est
l’admettre, se réconcilier avec l’univers, car tout est juste. C’est
reconnaître la cause et admettre l’effet, la conséquence et en tirer le
meilleur profit pour soi-même et pour les autres. C’est cela la sagesse.
Reconnaître admettre, visualiser la globalité et aller de l’avant.
Vous vous arrêtez depuis trop longtemps sur les mêmes pesanteurs, sans
avoir conscience que vous traitez ainsi au quotidien du virtuel ! Qu’il
suffirait de changer l’image (ce que vous reflétez de l’intérieur), car vous en
êtes maîtres, pour maîtriser la situation, la changer, et changer la face du monde,
de votre monde !
N’avez-vous jamais pensé à cela ?
Si, bien sûr ! Mais ce qu’il vous manque c’est la constance.
La constance en chaque chose vertueuse est un bien précieux, mais peu
apprécié des humains, qui préfèrent l’incidence rapide et sans frais, sans
engagement sur la durée.
Il faut réapprendre à s’aimer suffisamment pour se donner le droit à une
ligne de conduite dans la constance.
Tous les Maîtres vous le disent, la constance, la concentration sur le
but, sont des valeurs sûres, un exercice indispensable à la
matérialisation de qui vous êtes ; « des êtres parfaits créant le
parfait».
Adoptez cette constance dans toutes les grandes lignes de votre vie
comme dans les plus petites. Ce n’est pas une contrainte, c’est être vrai et en
adéquation avec soi même. Ce n’est pas une règle de plus : c’est donner
une trajectoire logique et aimante à son profil de vie.
À l’intérieur de la vie, il n’y a pas stagnation. Il y a fluidité. Et la
vie répond à certaines règles. Il y a fluidité en son sein, parce qu’elle est
amour.
L’amour est vaste, mes amis. Il répond toujours à la même logique pour
tout le monde, de la plus petite parcelle de vie à la plus grande.
Il
n’y a pas de lieux plus émérites que votre cœur, votre tabernacle divin. Car
malgré les aléas de vos incarnations, en ce lieu réside toujours
cette parcelle divine, cette lumière d’amour indestructible, cette soif d’amour
indestructible.
Vous êtes ainsi fait ! Avec vos constances et vos inconstances.
Mais vous n’avez plus le temps
de vous y complaire. Le temps presse.
Nous avons besoin de guides pour montrer le chemin à l’humanité. Quelle
sorte de phare serez-vous, si vous vous déplacez à tout moment impromptu de
droite à gauche, de long en large ? Qui pourriez-vous éclairer en faisant
ainsi ?
Je vous aime tous d’un amour infini.
Soyez les joyaux de la couronne céleste sur Terre, sans armure, sans
pesticide intérieur, dans la compréhension, l’amour fraternel, la compassion
universelle.
Soyez un univers de bonté envers vous-même et les autres.
Soyez
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